Flora Hibberd + J.Aubertin
Flora Hibberd
C’est l’idée du tissage qui décrit au mieux l’écriture de Flora Hibberd, musicienne indie-folk originaire de Londres. Faites d’entrelacements de motifs et de situations, ses chansons déploient une constellation de mélodies et de sens qu’il nous revient de décoder. Souvent qualifié d’envoûtant, son univers textuel et sonore ne quitte pourtant pas des yeux la vie ordinaire.
Née à Londres, Flora Hibberd est une musicienne indie-folk installée à Paris. Après deux premiers EP suivis en 2021 de l’album « Hold », dont elle a défendu les chansons sur les scènes parisiennes et au micro de Cerys Matthews à la BBC, elle a rejoint en 2022 le label new-yorkais 22Twenty. En compagnie de Victor Claass, qui travaille à ses côtés aux arrangements de ses morceaux, elle prépare l’enregistrement de son prochain disque aux États-Unis avec le producteur Shane Leonard (JE Sunde, Anna Tivel). En solo ou accompagnée de son groupe, Flora Hibberd mène une enquête poétique et sonore sur le langage, les choses et les images, nourrie d’influences littéraires et musicales variées. Dans ses chansons, on rencontre des tapisseries médiévales et des radios à transistors, des organismes vivants et des corps célestes, formant un univers énigmatique où le sensible et l’immatériel se tendent la main.
https://www.youtube.com/watch?v=VrNuvnNLFP4
https://www.youtube.com/watch?v=K0wZCr6iSi4
Née à Londres, Flora Hibberd est une musicienne indie-folk installée à Paris. Après deux premiers EP suivis en 2021 de l’album « Hold », dont elle a défendu les chansons sur les scènes parisiennes et au micro de Cerys Matthews à la BBC, elle a rejoint en 2022 le label new-yorkais 22Twenty. En compagnie de Victor Claass, qui travaille à ses côtés aux arrangements de ses morceaux, elle prépare l’enregistrement de son prochain disque aux États-Unis avec le producteur Shane Leonard (JE Sunde, Anna Tivel). En solo ou accompagnée de son groupe, Flora Hibberd mène une enquête poétique et sonore sur le langage, les choses et les images, nourrie d’influences littéraires et musicales variées. Dans ses chansons, on rencontre des tapisseries médiévales et des radios à transistors, des organismes vivants et des corps célestes, formant un univers énigmatique où le sensible et l’immatériel se tendent la main.
https://www.youtube.com/watch?v=VrNuvnNLFP4https://www.youtube.com/watch?v=K0wZCr6iSi4
J. Aubertin
ouvrira la soirée et comme il se fait rare sur scène, nous sommes heureuses d’accueilllir cet artiste clermontois (qui participe également au collectif French Kiss).
“On pourrait prétendre que J.Aubertin n’est pas né à la bonne époque : la pochette de son EP “Whispers In The Wind“ est une photographie ambrotype (un procédé du XIXème siècle) le représentant assis à côté de son propre fantôme. Faut-il y voir une manière de faire écho aux générations précédentes, ou aux époques révolues qui viennent hanter ce disque de leurs mélodies ancestrales ? Il est difficile de dater sa musique, et le musicien s’en amuse avec ses photographies d’un autre âge, préférant s’abreuver à la source de la musique acoustique, en refusant les artifices. Un an après avoir sorti son premier EP “Bringers Of The Light“, enregistré dans le Colorado, il revient avec ce qui pourrait en être considéré comme le second volet. L’EP, pour rester fidèle à une époque qu’il veut maintenir au chaud, est enregistré sur bandes magnétiques, à l’ancienne.
“On pourrait prétendre que J.Aubertin n’est pas né à la bonne époque : la pochette de son EP “Whispers In The Wind“ est une photographie ambrotype (un procédé du XIXème siècle) le représentant assis à côté de son propre fantôme. Faut-il y voir une manière de faire écho aux générations précédentes, ou aux époques révolues qui viennent hanter ce disque de leurs mélodies ancestrales ? Il est difficile de dater sa musique, et le musicien s’en amuse avec ses photographies d’un autre âge, préférant s’abreuver à la source de la musique acoustique, en refusant les artifices. Un an après avoir sorti son premier EP “Bringers Of The Light“, enregistré dans le Colorado, il revient avec ce qui pourrait en être considéré comme le second volet. L’EP, pour rester fidèle à une époque qu’il veut maintenir au chaud, est enregistré sur bandes magnétiques, à l’ancienne.
On pourrait également prétendre que J. Aubertin n’est pas né sur le bon continent. Ses sonorités rêvent d’Amérique, et sa culture musicale, bien qu’il soit né en Auvergne, est celle d’un pur natif U.S. Une géographie des grands espaces qu’il retrouve dans les plaines volcaniques de sa région natale.
Il peut y avoir un côté dérangeant au premier abord, si l’on se méprend et que l’on refuse l’authenticité à J.Aubertin, trop français pour s’accorder le droit de sonner aussi américain, trop jeune pour avoir le droit de sonner aussi 70’s. Pourtant, son deuxième EP l’affirme plus encore que le précédent dans cette quête d’authenticité et cette interdiction de compromis. Non qu’il refuse les sophistications : bandes magnétiques, ambrotypes, il n’y a pas ici de mode vintage, mais plutôt une quête. Un retour à la « goldrush » de Neil Young, une ruée vers l’or où le métal précieux serait un monde fuyant que l’on voudrait maintenir. Comme s’il voulait rester fidèle aux grands auteurs folk, et continuer à écrire cette histoire, même à plusieurs milliers de kilomètres, en balayant d’un revers de main le jeu des tendances musicales.“
https://www.youtube.com/watch?v=sk6f2gIUsMo
www.youtube.com/watch?v=wLaxOmkgogI
https://www.youtube.com/watch?v=sk6f2gIUsMowww.youtube.com/watch?v=wLaxOmkgogI
Organisé par l’Envolée des vinzelles. Participation libre. (Prix conseillé : 7 euros)
restauration et bar sur place de 19H00 à 00H00
Les vinzelles, 1 impasse des châtaigniers 63530 Volvic
parking public en face du tiers-lieu ; si complet, parking du cimetière de Malauzat et traverser les jardins.