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Penny Arcade + les Cruz Castillo
Penny Arcade c’est le nouveau projet solo de James Hoare (The Proper Ornaments, Ultimate Painting, Veronica Falls) qui a sorti « Backwater Collage’ en mai dernier chez l’excellent Tapete Records (Bill Pritchard, Peter Astor, etc.)
C’est depuis le comté de son enfance, entre criques secrètes de vieux marins et vastes landes battues par le vent et la pluie, que James Hoare nous livre son premier album solo sous le nom de Penny Arcade. Bien que parti de Londres se retrancher dans l’ouest du pays, l’anglais n’est pas un novice pour autant. Depuis un bon moment déjà, Hoare promène son allure comme sortie d’un long sommeil pas si paisible.
Sur ce disque rêveur cousu main, au gré de diverses sessions d’enregistrement teintées de mésaventures dont, amusé, il avoue être coutumier, Hoare a pris son temps pour y assembler onze chansons intimes et solitaires. Il y déroule des mélodies pures et dépouillées au sein desquelles sa voix douce et mélancolique se mêle à celle, chaude et légèrement voilée, de Nathalia Bruno et aux claviers de l’ami Max Claps. Les yeux brossés de peinture jaune, on pense à un Syd Barrett délesté de ses accents psychédéliques, on pense à un Jack Name d’outre-Manche assis sur le canapé noir et blanc du Velvet Underground. On pense au versant le moins bruitiste mais tout aussi brut, et sans artifice, de Jesus et Mary Chain. Avec ‘Backwater Collage’, seul à la barre, parfois inquiet mais d’un pas léger, James Hoare invite à se mettre à l’abri, sous un ciel de traîne, pour une tasse de thé.
C’est depuis le comté de son enfance, entre criques secrètes de vieux marins et vastes landes battues par le vent et la pluie, que James Hoare nous livre son premier album solo sous le nom de Penny Arcade. Bien que parti de Londres se retrancher dans l’ouest du pays, l’anglais n’est pas un novice pour autant. Depuis un bon moment déjà, Hoare promène son allure comme sortie d’un long sommeil pas si paisible.
Sur ce disque rêveur cousu main, au gré de diverses sessions d’enregistrement teintées de mésaventures dont, amusé, il avoue être coutumier, Hoare a pris son temps pour y assembler onze chansons intimes et solitaires. Il y déroule des mélodies pures et dépouillées au sein desquelles sa voix douce et mélancolique se mêle à celle, chaude et légèrement voilée, de Nathalia Bruno et aux claviers de l’ami Max Claps. Les yeux brossés de peinture jaune, on pense à un Syd Barrett délesté de ses accents psychédéliques, on pense à un Jack Name d’outre-Manche assis sur le canapé noir et blanc du Velvet Underground. On pense au versant le moins bruitiste mais tout aussi brut, et sans artifice, de Jesus et Mary Chain. Avec ‘Backwater Collage’, seul à la barre, parfois inquiet mais d’un pas léger, James Hoare invite à se mettre à l’abri, sous un ciel de traîne, pour une tasse de thé.
« Une affaire mélancolique qui brille par la finesse de ses arrangements et la fluidité de ses mélodies. […] Une perle de plus à son répertoire. » – Rock&Folk ****
« Révélé en groupe (Ultimate Painting, Veronica Falls), l’Anglais James Hoare s’offre une magnifique échappée solitaire. » – Les Inrocks
« Un disque mélodieux, au son très clair et lumineux, tout en douceur et en lenteur ; mellow, dirait-on chez lui. » – Section26
« Un bijou de pop épurée. » – Benzine
« Une échappée belle et mélancolique. […] Des suites d’accords merveilleuses et sophistiquées. » – Libération
« Révélé en groupe (Ultimate Painting, Veronica Falls), l’Anglais James Hoare s’offre une magnifique échappée solitaire. » – Les Inrocks
« Un disque mélodieux, au son très clair et lumineux, tout en douceur et en lenteur ; mellow, dirait-on chez lui. » – Section26
« Un bijou de pop épurée. » – Benzine
« Une échappée belle et mélancolique. […] Des suites d’accords merveilleuses et sophistiquées. » – Libération
Et la fête sera totale puisque ce sont les copains des Cruz Castillo qui ouvriront la soirée !
Les Cruz Castillo
C’est 3/5 de La position du Tireur Couché (dont la fille et sa session rythmique, faut savoir s’entourer…) et 1/4 du Puissant Domota (le quart qui se souvient encore de son prénom malgré sa démence éthylo-sénile). De ce qu’on en sait ils forment un espèce de groupe de pop de lycée mais avec 25 ans de retard. En revanche ils jouent des trucs plus cools que ce qu’ils écoutaient au lycée, ça vous sauve la soirée (y’aura pas de Zebda par exemple). Autant dire que ce groupe à un fort potentiel de développement et une attitude farouchement novatrice.
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